Le bureau de consultance en mobilité durable, Traject, a pris soin de s’adresser à ceux qui n’ont pas encore commencé à travailler avec le budget de mobilité. Qu’en retenir ? Qu’il existe trois piliers qu’on peut comparer à un menu qu’on personnalise au restaurant.
Pilier 1 : c’est l’entrée, pas obligatoire. Il s’agit d’une voiture de société respectueuse de l’environnement.
Pilier 2 : c’est le plat, avec une multitude de choix. Il s’agit des différents moyens de transport durables et des frais de logement. Au contraire des deux autres, ce pilier n’est pas taxé.
Rappelons que les frais de logement ne concernent que les employés habitant à moins de 10 km réels (à vol d’oiseau, donc) de leur lieu de travail principal. Thierry Devresse précise : « À l’avenir, le gouvernement pourrait mettre en place un plafond pour le remboursement des frais de logement. À surveiller, donc. »
Pilier 3 : il s’apparente au dessert. On ne le prend que s’il reste de la place. Il représente le solde du budget restant après déduction des dépenses des premier et deuxième piliers.
Comment commencer avec le budget mobilité, d’après Traject ? En 3 phases :
- D’abord analyser quels sont les objectifs de la société.
- Ensuite, rencontrer les bons acteurs pour aider à implémenter le budget de mobilité : consultants, experts en mobilité, plateforme Mobility as a Service, département des ressources humaines, avocats, etc.
- Enfin, choisir les (bons) partenaires.
Et pourquoi commencer dès aujourd’hui ? Toujours d’après Trees Vandenbulcke et Pierre Bertin, experts en mobilité au sein de la société Traject, pour au moins 4 raisons :
- Pour être un employeur attractif et attirer des talents : ceci a d’ailleurs été confirmé dans les sondages, par plus de 80% des participants, lors de notre webinaire.
- Pour le bien être des collaborateurs.
- Pour réduire les émissions de CO2 en allant vers une mobilité plus durable.
- Pour optimiser les solutions de mobilité au sein de l’entreprise.